ATELIERS LYCÉENS ET APPRENTIS AU CINEMA
Les ateliers sont proposés dans le cadre du dispositif Lycéens et Apprentis au cinéma, coordonné en région par l’ACRIRA et Sauve qui peut le court-métrage. Au cours de l’année scolaire, chaque classe partenaire du dispositif peut prétendre à une intervention prise en charge par l’ACRIRA. Pour plus d’informations à ce sujet, n’hésitez pas à contacter son équipe : lyceens@acrira.org – 04 72 61 17 65.
Atelier (Re)création de bande annonce : Donnie Darko
Atelier de réalisation d’un Très Court Métrage
Le montage sera effectué par l’intervenant en aval. Une fois terminé, le film monté sera envoyé aux enseignants pour une diffusion en classe qui pourra être suivi d’un échange.
Initiation au montage avec la table Mash’up
Cette « table de montage », au sens premier du terme, permet de mixer en direct des extrait vidéos, des musiques et des bruitages, le tout par le biais de simples cartes ! Mot anglais, « Mashup » pourrait se traduire littéralement par “faire de la purée”. Il s’agit d’un montage d’images et de sons tirés de diverses sources, et qui sont copiés, collés, découpés, transformés, mixés, assemblés, pour créer une nouvelle œuvre. Cette technique est un excellent moyen d’initiation permettant aux jeunes de se réapproprier des images de façon nouvelle et d’appréhender la création et le montage de manière décomplexée.
Grâce à un corpus d’images et de sons issus d’archives libres de droit, les participants expriment leur créativité en concevant librement leur histoire ! Les cartes images et sons, parfois insolites, stimulent l’imaginaire. Montage créatif garanti !
Comment créer cette fameuse tension qui met le spectateur en haleine ? Un atelier pour découvrir de quelle manière le montage participe de la construction du suspense. Les participants ont à disposition des images issus notamment de films d’Alfred Hitchcock, la maître du suspense, et montent ainsi leur propre séquence de suspense. Ils pourront jouer avec les bruits et la musique pour un effet garanti !
Les blockbuster des box-office de nos salles de cinéma présentent un cinéma spectaculaire, de la dé-monstration, à la recherche d’une surenchère d’effets pour effrayer ses spectateurs. La représentation « plein champ » du monstre et la quête de sensation forte semblent y être associée. Entre plein cadre et hors-champ, monstration et dissimulation, voyeurisme et imaginaire, où situons-nous notre regard, notre plaisir de spectateur ? A partir de plans issus de films d’épouvante, les participants sont invités à monter leur propre séquence de peur. Qui saura nous faire frissonner ?